Les prix de l'immobilier ancien ont chuté, entraînant une baisse des transactions et une perspective de poursuite de cette tendance en 2024.

La FNAIM prévoit une baisse des ventes et des prix immobiliers en 2024, surtout dans les grandes villes.

« Le marché est désormais plus favorable aux acquéreurs. Il n’est ni bloqué, ni face à un krach, mais fortement ralenti », observe la FNAIM. Il faut dire que la hausse des taux des deux dernières années n’a pas encore engendré de baisse des prix significative. Les signes encourageants observés fin 2023 sur le crédit, à l’instar de la réouverture de l’octroi de la part des banques et stabilisation des taux, semblent en effet insuffisants pour relancer le marché. Une baisse des ventes accentuée à l’Ouest et dans le Nord Dans ce contexte, les

Loïc CANTIN, Président de la FNAIM, juge incompréhensible le coup de rabot d’un milliard d’euros décidé par Bruno LE MAIRE sur le budget de MaPrimeRénov’.

Les montagnes françaises confrontées à des logements énergivores et un marché immobilier saturé, nécessitent une priorité à la rénovation.

Loïc CANTIN se réjouit du nouveau calcul du DPE pour les petites surfaces annoncé par Christophe BÉCHU, ministre de la Transition écologique

Alors que la France s'enfonce dans une crise du logement de plus en plus profonde, les professionnels du secteur ont pour la plupart sèchement critiqué les annonces du Premier ministre Gabriel ATTAL.

Découvrez les sujets abordés lors de la dernière interview de Loïc Cantin sur BFM Business !

Le logement est en crise et les professionnels sonnent la mobilisation générale pour alerter le président de la République.

Mettre le HCSF en pause pendant 1 an Les normes du HCSF, jusque-là incitatives, sont devenues contraignantes à partir de 2022. Il faut dire que ces dernières limitent à 35 % le ratio d’endettement, à 25 ans (exceptionnellement 27 ans sous conditions de travaux) la durée de remboursement et interdisent le calcul différentiel pour intégrer les loyers dans le taux d’endettement. La possibilité de déroger à ces règles pour 20 % des dossiers est aujourd’hui complexe et insuffisante pour relancer la production de crédits. « Il faut suspendre, à titre expérimental pour